Histoire à continuer

Et oui, je trouvais que l'idée sur le forum à Bass était cool. Alors on commence une histoire, et vous la continuez

C'était l'histoire d'un petit homme vert, qui gambadait tranquillement dans les bois en chantonnant des petites comptines de son enfance lorsqu'il vit non loin de lui ....

... un énorme saule qui agitait frénétiquement ses grandes branches dans un sens et dans un autre pour attirer son attention. Il paraissait avoir ateint un age si avancé que ses racines se déroulaient sur des kilometres des la foret et que la mousse qui engluait chaque parcelle de son écorce était elle-même recouverte de champignons.

Le petit homme vert se ficha donc droit devant lui, leva les yeux vers ce qui paraissait être son visage (les dessins dans l'écorce évoquaient le faciès ridé et ideux d'un vieillard) et lui dit:...

...'' Excusez-moi, Mr. Le Saule Pleureur, savez-vous où se trouve la maison de Dame Nature ? Il faut absolument que j'aille la voir, c'est urgent. ''

Le vieil arbre se demandait bien ce que ce petit être vert voulait à Dame Nature, qui, on le sait très bien, déteste être dérangée, surtout en plein jour comme ça, où elle a fait elle-même apparaître le soleil pour profiter d'une journée entière à faire bronzer sa peau manquant de mélanine. Oui oui, vous avez bien compris : Dame Nature a la peau aussi blanche qu'une marguerite sans son centre. Tout le monde le sait, ça. De là venait la légende que Dame Nature vivait dans les nuages et que personne ne pouvait la voir... mais le petit être vert savait très bien qu'elle habitait un chalet luxueux, sur l'avenue de la Grêle.

Le vieil arbre hésita un instant. On pouvait sentir les traits de son écorce se froncer. Il n'avait pas l'air certain de ce qu'il s'apprêtait à faire. Qui sait ce qui pourrait arriver si Dame Nature se mettait en colère? Un mois complet avec des orages électriques ne seraient pas apprécié. On sait très bien que les arbres n'ont pas de compagnies dans ces circonstances...

Après maintes réflexions, et voyant l'air suppliant de la petite créature, il céda.
'' Vas à ta droite. Tu vois, ce vieux puits de briques rouges délabrées ? Voilà le chemin que tu dois emprunter. Mais je ne te garantis pas que tu vas t'en sortir vivant. On sait très bien que Dame Nature cache plusieurs pièges sur le chemin de sa maison afin qu'on ne la dérange pas. Fais attention. Et prend cela avec toi ''
C'est alors qu'il lui tendit....

...une énorme pomme rouge un peu molle qui provenait d'un arbre voisin.

-Qu'est-ce? demanda la petit. Est-ce magique? Que puis-je en faire?

-La manger, répondu, intrigué, le vieil arbre. Ce n'est qu'un pomme pour ton diner.

(Note: oui, je sais, ca aurait pu être quelque chose de plus interessant, ou de spectaculaire...)

Alors le petit homme vert, qui, soit dit en passant, ne devait pas etre bien vieux car, comme vous le savez, qui est vert n'est pas mur, et lui n'avait même pas la moindre tache d'une autre couleur, trotta jusqu'au vieux puit et y jetta un coup d'oeil rapide avant de s'y jetter sans aucune hésitation.

Malheureusement pour lui, imbécile comme il l'était, il n'avait pas emprunter le bon chemin, tel que l'indiquait l'arbre, mais avait plutot eu la malencontreuse idée de se garrocher tete premiere dans la puit alors que le véritable chemin n'était autre que le sentier qui prenait racine pres de celui-ci.

Mal lui en pris de commettre une telle bêtise, car il n'en récolta que des maux. Le puit était profond, et la choc qui retentit dans sa tete ne lui disait rien qui vaille....

Découragé, il décida de croquer la pomme sans attendre l'heure du diner. Elle était, vue de pres, un peu frippée, brunatre et, il faut le dire, laide et peu appétissante. Son gout était néamoins étrange, a des km de celui qu'on connait aux pommes habituelles. Pour tout dire, et bien que le petit verdichon n'en savait rien, elle avait passée sa date limite: elle était pourrie...

Apres quelques minutes, il voyait des visages apparaitrent sur les murs de son cachot, sentait des picotements dans ses bras et ses jambes, avait un gout pateux dans la bouche et entendait rire les rinoceros. Le gardien de sa cellule verte en raisins de corrinthe lui chuchotait de taire ses larmoyements incessants alors que le violoniste en pates d'amandes (note: miam jai faim. faut que j'ailles diner moi!) s'attaquait aux airs dépravés de Bethoven. Du tranchant d'un dièse accéré, les airs s'en prirent au visage vérolé du musicien et celui-ci riposta par un déluge de clés de sol cacophoniques. Les notes coulaient commes des rivieres de cailloux moelleux et sucrés et semblaient pourtant pacifiques avec leurs sourires édentés, car, c'est bien connu, les notes ont le plus beau sourire qui soit quand elles sont de bonne humeur, mais peuvent se révêler d'ardente combattantes quand on les met en présence des violonistes....

(note: non, je n'ai rien pris... j'ai juste faim et mon piano m'inspire de drole d'idées...)

… après quelques heures de pur folie, le petit bonhomme de couleur soit dit en passant plutôt verte, d’autant plus verte du fait qu’il était malade, et donc de couleur très verte si c’est possible, sortie de son état comateux. Il faut dire que malgrès sa constitution fragile (halluciner sur une pomme, même pourrie, c’est assez impressionnnant), il n’était pas destiné a finir ses jours dans un puit à l’odeur fétide (il avait aussi les narines sensibles le petit bonhomme vert).

Il chassa de son esprit les résidus de violoniste hallucinatoire et examina avec attention la cavité qui lui servait de puit. Intelligent comme il était, il réalisa que… la puit était rouge. Bon, il n’était peut-être pas si malin que ça après tout (c’est quoi cette manie de faire des héros futés et courageux aussi, soyons originaux). Mais rouge, pourquoi rouge? Parce que c’est une belle couleur, qui se démarque bien du vert de la forêt, pour avertire les gens du danger qu’il propse, on peut tomnber dedans si on ne fait pas attention, ou tout simplement parce que l’argile (ou la pierre à brique, le ptit gars vert n’est pas un architecte, il n’a pas un bac ou une maîtrise en construction de briques vous savez) était rouge? Tout cela était trop simple, ce devait être… du SANG HUMAIN!!! (Je tiens a présciser qu’il ne sagit que de l’imagination de M. petit bonhomme vert, en raison de la pomme peut-être, et que le puit n’est rouge que par le désir de l’auteur, qui trouvait ça beau. Aucun personnage imaginaire n’a été blessé durant l’écriture de cette histoire, sauf Boby, mais il l’a cherché, il jouait avec un marteau…)

Horrifié comme un petit bonhomme vert peut l’être, il gravi les mur du puits en quelques secondes et se retrouva à l’extérieur de celui-ci. Il prit quelques secondes de plus pour reprendre son souffle et réalisa que ça peur lui affait fait escalaser le puit sans qu’il ne s’en rende compte (vive l’adrénaline Wouuuuuhhouuuuu!!!). Devant lui se présentait le chemin que lui avit montrer le chên.. le sapi.. l’épinett.. l’Arbre. Qu’est-ce qui pouvait bien se cacher dans ces ombres….

...Inquiet à la seule pensée de se retrouver seul, le petit...heu...mais qu'est-ce exactement? un lutin? un elfe de la foret? une marionnette? ou bambin tombé dans un pot de peinture ou simplement un petit homme aimant trop les courgettes?... donc ce...cette chose! frissonnait comme s'il se fut trouver dans le pole Nord en calecon. Que voulez-vous , il avait peur du noir. C'est une phobie tres courrante, mais néanmoins désagréable...

Il prit tout de meme son courage a deux mains, et s'aventura dans le bois enchanté (note: je sais, c'est pas original, mais faut bien qu'il y ait un bois enchanté a un moment ou autre autre. C'est la clé du succès!!!). Autour de lui, tout était menacant: les pétunias roses et les tulipes jaunes qui s'agitaient dans le vent, les feuilles des arbres qui bruissaient au moindre souffle de vent, les arbres éloignés les uns des autres, les cailloux blancs sur le sentier, la lune qui luisait tranquillement dans le ciel étoilé, les oiseaux qui sifflaient joyeusement et les écureils qui escaladaient les troncs sans se soucier de lui, tout, absolument tout, lui paraissait effroyable! Tout était trop beau! Il devait bien y avoir des dangers cachés, qui n'attendait que l'instant ou il baisserait sa vigilance!!!

-Haaaargggg!!!, s'étrangla-t-il, mort de trouille.

Comment pourrait-il traverser le bois sans protection alors que tant de menaces planaient dans l'air???

Au moment ou il posait le pied sur le gazon vert et doux, il cru voir....

un objet briller, vu les rayons puissants que le soleil envoyait en une telle journée. Ne voyant que ce n'était qu'un simple papier doré qui était auparavant enroulé autour d'un petit bonbon au beurre, il continua son chemin, en observant bien le monde qui l'entourait.

Il était si mélangé ! Et un petit être vert mélangé, ce n'est pas beau tout suite ! Il ressentait en lui un mélange de bonheur absolu et de craintes. Quels étaient les pièges dont l'Arbre lui parlaient ? Encore plus important, existaient-ils vraiment, ces pièges ? Le vieux saule était peut-être qu'un personnage moqueur qui ne chechait qu'à lui foutre la chair de poule. Il avait beau se dire n'importe quoi, le doute règnait quand même dans son esprit vert... oui oui, même son esprit a une teinte verdâtre ! ( Quoi ? J'peux me permettre plein de choses, non ? )

Il continua son chemin, en songeant à ce qu'il venait de penser ... Tout à coup, PLUS DE CHEMIN ! Devant lui se trouvait un immense lac qui s'étendait vers l'infini. Des milliers de canards y flottaient et se lavaient les plumes. Ils étaient d'une couleur plutôt étranges... Oh ! Ils ne flottent pas, tout compte fait... ils... ils... ils ont des pattes... et .. ils sont roses. Éclair de génie ! Ce sont des flamants roses ! Jamais il en avait vus autant en un même endroit. Mais... pourquoi des flamants ? Quel lien existait entre les flamants roses, et le fait qu'il doit se rendre à la maison de Dame Nature ( C'est toujours utile de redire le but principal du personnage principal... ).

''À moins que ces drôles de bêtes peuvent m'aider à traverser''... C'est alors qu'il s'approcha de la bête la plus près du lac ...

...Le bipede le regarda venir vers lui avec méfiance. Si un homme vert n'est pas commun dans notre société, il ne l'est pas plus dans le regne animal. C'est pourquoi le flamant se méfiait de Mr Green (Note: oui, j'adopte ce nom... ca me fait penser a Pulp Fiction!!!) comme s'il se fut s'agit d'un flamant bleu, le pire ennemi EVER de tous les flamants roses qui se respectent.

De pres, le volatile semblait plutot étrange, bien loin de ce qu'il paraissait etre de loin... Le petit homme s'attendait a voir un gentil oiseau qui lui proposerait son aide, et voila qu'il découvrait un gigantesque moineau obese, d'un rose délavé, déplumé, crotté et, de surcroit, dévoilant des dents accérés (ce qui est assez étrange chez un oiseau).

-Hummmm quoooooi? se contenta de gronder l'animal.

Le souffle chaud et fétide finit de briser les illusions de Mr Green... Il ne passerait pas le lac en se contentant de lui demander de le prendre sur son dos, c'était clair...

Notre minuscule heros chercha donc dans ses poches ce qui pourrait lui etre utile (note: non, notre héros n'est pas nu. je sais, je brise l'illusion de naturalité que vous entreteniez, mais ce n'est pas un conte porno que nous écrivons ici. Il est habillé tout comme il faut, avec une salopette parce que c'est cute. Fin de la discussion!!!) et trouva ce qu'il cherchait. Il présenta la fameuse pomme, celle-la meme dans laquelle il avait pris une petite bouchée plus tot, et la tendit timidement à l'oiseau, qui, sans aucun remerciement, la goba tout rond.

Les effets ne tarderent pas a se faire sentir : le flamant se recroquevilla bientot sur le sol en gémissant que les pruneaux lui mentaient. Apres avoir vérifier que son ancien interlocuteur était aussi inoffensif qu'une brebis, Mr Green s'appliqua à lui arracher, une a une, chacune des plumes qui recouvraient son énorme corps mou et pestilentiel. Puis, il se les fixa sur les bras avec sa salive (les petits hommes verts des forets ont une salive aussi gluante que du mucus, et il suffit de quelques secondes pour qu'elle se solidifie et deviennet aussi dure que du marbre. Mais vous les saviez surement déja).

Il avait maintenant des ailes dignes d'un ange et était fin près a prendre son envol. Mais avant cela, une derniere petite chose lui restait a faire. Il chercha autour de lui un....

(Note: j'ai décidé sur un coup de tete que le flamant était méchant et méritait une lecon pcq il n'était pas un canard. Heu.. pour ceux qui ne le savent pas, j'adore les canards... demandez a Mathieu!)

ee...hhh?

Elle est en train d'éditer son message là !

hep frank! joinds toi a nous, écris en une partie! C'est vrm l'fun!

désolé jai pas trop le temps là....

.. un indice qui pourrait lui révéler où se situe sa prochaine destination. ( Oui, comme dans tout bon conte, il y a toujours une genre de chasse au trésor où, à la fin, le personnage principal, ici représenté par le nain vert à la salive de marbre, trouve ce qu'il cherchait ) Aucune trace de carte au trésor. Oh ! Un miroir ?!

Mais qu'est-ce qu'un miroir faisait, là, entre un arbre et un boisé ? C'était une glace petite et ronde. Elle se glissa parfaitement dans la poche de sa salopette ( qui, en passant, lui donait un air franchement sympathique ). Peut-être cet objet lui servirait-il dans l'avenir ?

C'est alors qu'il recula, et recula à nouveau, jusqu'à voir les oiseaux de la grosseur d'un pois. Il regarda de tous les côtés. Pas de traces de Chaperon Rouge, ni de Méchant Loup, pas de Henzel, ni de Gretelle, pas de champignons abritant des schtroumphs, ni même de petit poucet. Dommage, le pois chiche vert sur deux pattes aurait aimé voir le Petit Poucet.. il est tellement génial. Des rumeurs courent comme quoi il aurait une relation avec le petit chaperon rouge... c'est ce que Cendrillon radotait, l'autre jour, au bord de l'étang, en train de laver le sol rocailleux ( Cendrillon, qui a le cerveau aussi gros que celui d'un vulguaire poisson rouge, ne se rend pas compte que ça ne sert à rien de nettoyer une telle surface )

Ne voyant personne qui pourrait lui donner une petite poussée, il se mit à courir en direction du l'étendue d'eau aux volatiles roses et, rendu à l'extrémité du chemin, sauta dans les airs pour ensuite voir si les plumes qu'il s'était fixées sur le corps aurait un effet bénéfique pour le sortir de là.

WOw ! Jamais il avait vu un lac à vue d'oiseau ( Façon subtile de dire qu'il vole... pour ceux qui n'avaient pas compris... ) Aussi vite qu'un écureuil se sauvant d'une voiture voulant l'heurter, le temps changea. Une brume épaisse envahissait le ciel anciennement d'un bleu turquoise. Que se passait-il ? Était-ce encore Dame Nature qui faisait des siennes ?

'' Qu'est-ce que c'est ? Un château ? '' La brume se dissimula tranquillement, et un château se dressa, non loin de là...

... sur une île rocheuse. C'était un chateau fortifié en pierres grises, muni de soupirails, de passerelles et d'un dongeon. Mr. Green s'en approcha du mieux qu'il peut en inclinant l'une de ses ailes improvisées. Le résultat fut catastrophique. Au lieu d'entamer une descente en douceur, il perdit toute maitrise et, entrainé par le poids de sa salive (elle n'avait pas seulement la consistance du marbre, elle est avait aussi la poids!), il fit une chute de plusieurs metres avant d'aboutir sur le toit d'une des tours les plus hautes.

Glissant sur les tuiles, il tenta de s'aggriper au rebord, mais en fut incapable et dérapa dans le vide. Il tomba sur un balcon un peu plus bas, sans heureusement se faire la moindre mal.

C'est alors qu'il entendit un cris rauque derriere lui. Se retournant vivement, il se retrouva face a face avec une fillette vêtue d'une jolie petite robe violette. Elle le dévisageait avec un mélange d'étonnement, de joie et...d'avidité! Elle le fixait de ses grands yeux bleus a moitié voilés par les longues boucles blondes qui s'échappaient du montage élaboré qui retenait son ample chevelure. Ses petites menottes battaient l'air et sa charmante petite bouche en forme de coeur exprimaient la plus grande des joies.Derriere elle se trouvait un serbo-croate a la stature de géant (a en jugé par ses traits, c'est ce qu'en avait déduit notre héro), dont les muscles saillaient sous son bliaud ajusté. Son visage était marqué par de profondes cicatrices et son crane était entierement rasé. Il arborait un poignard a sa ceinture et, sans aucun doute, n'hésiterait pas a s'en servir. M'est-il besoin de préciser que son sourire n'avait rien de chaleureux?

Sans bien comprendre ce qui lui arrivait, le petit verdichon se retrouva sans tarder dans une cage d'oiseau suspendu au plafond de ce qui se révêla etre la chambre de la gamine. L' énorme masse de chair, qui devait être au service de la petite, l'y avait jeté sur l'ordre muet de la fillette apres s'etre emparé de lui, le tout en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. La cage se balancait aux moindre de ses mouvements, le projetant contre les barreaux rouillés, et le seul moyen qu'il trouva pour l'en empêcher fut de se percher sur la balancoire au centre de sa prison suspendue. Maintenant qu'il pouvait les observer a sa guise, il se rendait compte que la fillette, malgré sa beauté innocente, le mettait bien plus mal a l'aise que son factotum.

Les heures passèrent et la lune se leva bientot. La petiote, qui n'avait cessé de lui lancer des regards sans dire le moindre mot de toute la soirée (note: j'essaie de mettre en évidence qu'elle est présentement muette...), était allée se lover dans son lit depuis maintenant quelques heures quand le géant s'approcha de la cage. Son visage se trouvait a la meme hauteur que celle de Mr Green et celui-ci remarqua, malgré la noirceur, que l'homme lui souriait avec bienveillance...

(Note: c'est ouvert comme fin ca, non? Je vous laisse continuer...)

Il remarqua que, dans sa main droite se trouvait le trousseau de clé qu'il avait utilisé plus tôt pour enfermer le petit être vert qu'il était dans cette minuscule prison.

'' Excuse-moi d'avoir agit ainsi avec toi... mais je n'avais pas le choix ! ( Ah ! Le fameux bout où le gros colosse à l'air méchant devient gentil... j'adore ! )

'' Pas le choix ? '' , de répliquer le petit.

'' Tu as bien entendu. Je ne pouvais pas te laisser fuir. Si Mélodie ( Bah quoi ? Toutes les méchantes petites filles dans les histoires s'appellent Mélodie... non ??? ) n'avait pas cette fâcheuse habitude de dévorer quiconque la contrarie, il y a longtemps que tu aurais pu rentrer chez toi '', répliqua le colosse, avec toute l'empathie qu'il pouvait éprouver à l'égard de cette pauvre petite personne se balançant dans la cage.

'' Mais je ne veux pas rentrer chez moi ! C'est chez Dame Nature que je veux aller ! ''

L'ancien méchant devenu gentil parût soudain songeur. Devait-il lui dire ce qu'il savait à propos de Dame Nature , ou était-ce trop risqué ? Il réfléchit un moment.

'' Tiens, va-t-en '' , dit-il en lui ouvrant la porte de la liberté. '' Et... sois prudent.... Sur ton chemin tu rencontreras sûrement Aphrodite... ( Lien entre Aphrodite et l'histoire ? Aucun. Mais je veux me servir du miroir que le petit être vert possède toujours dans la poche de sa salopette ... ) Je n'peux pas t'en dire plus. Aller, ouste !

Mr.Green sortit du château aux pas de course. Peu importe si Mélodie l'avait entendu ou pas. Il ne s'en préoccupait guère. Mais.. pourquoi Aphrodite serait une étape importante à franchir ? En quoi peut-elle nuire à ma quête ?

... Après avoir déambuler dans des couloirs interminables pendant au moins une heure, il décerna le parfum indescriptoble de la liberté. Bon, d'accord, je vais tenter de la décrire quand meme. Alors, c'est une odeur enivrante qui s'apparente a celle de l'herbe coupée, mais en plus fauve. Avec une pointe de patchouli peut-être. Ou de jasmin, mais ca pourrait aussi etre le parfum du lyla. Meme du bois de sental... Désolé, je ne suis pas un nez, et, de toute facon, décrire une odeur indescriptible, c'est tout simplement impossible.

Donc, en s'orientant avec son odorat, Mr Green, qui, soit dit en passant, possede un odorat tres développé parce que ca me plait qu'il en ait un, parvint a trouver le chemin de la sortie, se glissa par une porte secondaire entrouverte (située dans la cuisine, encore vide a cette heure avancée de la nuit, ou il en profita pour piquer une miche de pain de ménage)... Ha, le grand air!!! Rien ne l'équivaut quand on a frolé la mort ( oui oui, la mort. N'oublions pas que ce petit trouillard est paranoiaque!).

- Comment ai-je bien pu m'en passer aussi longtemps! Jamais plus je ne m'éloignerai de la nature! s'exclama-t- avec conviction

-Et pouquoi l'avais-tu quitée?

-Bah, c'était pas intentionnel! J'y ai été contraint par le serviteur de cette enfant. Et tout ca m'a mis bien en retard! maugréa-t-il.

-Alors cesse de perdre ton temps, et va!

Ce n'est qu'à ce moment que Mr Green s'interrogea a savoir qui pouvait bien lui parler ainsi. Mais oui, seulement maintenant! Aussi étrange que cela puisse paraitre, il était plutot niais, pour ne pas dire épais, et la question qui vous brulait les lèvres ne l'avait pas même effleuré.

-Qui me parle? finit-il par demander, en jettant des regards interrogateurs autour de lui.

Mais son interlocuteur n'était visible nulle part, et après quelques minutes de recherche assidue, il décida de ne pas tarder à reprendre son périple. Il avait tout de meme une mission importante a mener a terme! Avec les grands pouvoirs viennent les grandes responsabilité (Note: ici, je dois préciser une ou deux petites choses. Premierement, j'ai belle et bien pris cette citation dans Spiderman, mais que voulez-vous, je trouve ca plutot convaincant un homme en colant qui se prend pour une araignée. Deuxiement, je dois avouer que c'est assez difficile d'appliquer cette phrase a notre personnage étant donné qu'il ne possede comme pouvoir que sa salive aussi dure que du marbre. Pourquoi comme du marbre? Heu... bonne question. Pour etre sincere, c'est le seul matériau qui m'est passé par la tete. Et puis, c'est plutot zoli, non?) Devant ses yeux émerveillés, un pont du rouge vermillon le plus éclantant qu'il ait jamais vu s'étendait a perte de vue... vers le ciel! (Note: ca, c'est pour toi Mathieu! Comme ca, il va bien finir par aller au ciel. Pas au paradis, au ciel, notez la différence je vous prie)

Sans accorder un seul regard au château grisatre qu'il quittait, il posa le pied sur le pont rouge...comme le sang? comme l'amour? comme le danger? Seul le futur le lui dirait!

(Note: je crois que ce serait bien que ce soit comme le sang. Ca prend du drame pour qu'on en fasse un best-seller. Mais ce n'est qu'un avis parmis tant d'autres. Vous avez toute la liberté d'en faire un roman d'amour, quoi que je n'aime pas tellement les vaudevilles. Ciel, mon mari! ... J'ai pas pu m'en empecher, fallait que je la dise celle-la, c'est un classique! Déformation professionnelle-étudiante oblige)

hum.... la, j'en ai écrit un coup!

la prochaine fois, je fais la page a moi-seule, en un seul message! Ca, c'est mon but dans la vie (Yarrrrr! ca et devenir pirate! mais je trouve mon nouveau but plus realiste, sais pas pk...)

allez, venez écrire! gênez vous pas! ca nous prendrait un peu de diversité!


petit message pour un certaine personne qui va se reconnaitre si elle lit ca : alors, qu'est-ce que t'en penses, Miss C (héhé! c'est incognito ca! ) ? Continues-tu notre zolie histoire? Dis oui, pleaaaase! Dis ouiiiiiiiiii!!!!! Et écris quelque chose de complêtment fou comme tu le fais si bien!!!

Le petit homme vert s'aventura donc sur le pont où tant de larmes avaient coulés. Les larmes des dieux bien entendu et les dieux pleurent du sang, c'est connu. Il existe deux ponts de ce genre dans le monde (un pour chaque oeil) et aussi banalement, sans même avoir chercher à l'atteinde auparavant, Mr. Green le traversait à ce moment même. Ils s'aventuraient donc en direction des yeux du ciel. Là où tout ce qui se passe en ce bas-monde est vu et analysé.

Plus le petit être vert avançait, plus les nuages se rapprochaient. Il commençait à se demander combien de temps il avancerait comme ça avant d'atteindre une destination quelconque. Il se demandait aussi que s'il devait pleuvoir, si le pont deviendrait une genre de glissage d'eau ... Bref, il avança ainsi toute la matinée, toute l'avant-midi et toute l'après-midi. C'est qu'il est perspicace notre petit homme ! Le soleil commençait à s'éteindre, la nuit allait tombée peu à peu (d'après ce que notre héro en avait déduit). Mais en fait, il s'apperçut que s'il faisait aussi sombre que ça, c'était à cause de l'énorme brouillard autour de lui ... ce qu'on appelle communément des nuages ! Il avait finalement atteind les cieux !!

Mais ce qu'on racontait de ce que à quoi ressemblait les cieux dans les grands livres d'histoire le déçut un peu, car ce qu'il vit là-haut ...

Hourra! Anglely nous a rejointe! Pas la choix, c'est toi qui l'a commencée.... Horray!!! (ici, on entend le public acclamer Angely!)

j'adore ton idée de pont de larmes divines. Et j'ai hate de savoir a quoi ressemble le ciel!!!!

Serais-je le chanceux qui aura l'honneur de décrire les cieux ???

... n'était pas aussi magnifique que ce que l'on racontait dans les livres. De l'eau ! Que de l'eau ! Le ciel est une immense mer d'eau ( Oui, une mer d'eau.. pas une mer de feu ! ), où vit les déesse et les dieux les plus puissants.

Dans ce décor sous-marin vivait des étoiles. Ces dernières ne bougaient jamais... mais à ce qu'il paraît, elles aiment bien se dégourdir un peu dans le milieu du mois d'août... en tout cas, c'est ce qu'on raconte, et Mr.green, aussi stupide soit-il, croyait à tout ce qu'on lui racontait. Vous avez bien entendu ! Notre petit être vert croit encore que la grand-mère est encore dans le ventre du grand méchant loup et que le chasseur, qui arrive à la fin, ne le tue pas, mais devient ami avec le loup et tuent ensuite le chaperon rouge. C'est ce que son cousin Mr.Purple lui racontait, lorsqu'il était petit... enfin... plus jeune.

Bon, revenons-en au ciel.

Que des étoiles, à perpétuité... que des étoiles... ah oui, il y avait ça et là une sirène qui lui faisait un clin d'oeil, mais il ne s'en préoccupait guère. Il était trop curieux de savoir ce qu'il y avait à la surface, s'il y en avait bien une. Il se mit donc à nager de toutes ses forces le plus haut qu'il pouvait.

'' Vais-je y arriver un jour ? '' , se lamentait-il. ( Oui, notre nain de jardin aux couleurs des champs pouvait parler sous l'eau. Il n'a que deux dons : Celui de courir vite ( Oui, je viens de l'inventer) et celui de parler et de respirer sous l'eau.. pratique, quand même ! )

Après 15 minutes de nage, il voyait une lueur qui était à quelques mètres de sa tête, un peu plus haut. Il se dépécha. Il n'était pas essouflé du tout ! ( En forme, notre Mr.Green! ).

De l'air !!! Oui, de l'air ! Il avait enfin la tête hors de l'eau ! Et là, c'était le paradis. (Donc, pour ceux qui ne suivent pas le courant de mon imagination, l'eau est comme une longue étape pour se rendre au paradis !) Il y avait des papillons, de grands champs fleuris, pleins de montagnes, et le plus important, des arcs-en-ciel, comme dans les Télétubbies. Non, je m'éloigne du sujet. ( J'adore les arcs-en-ciel.. on dirait que lorsqu'on dit ce mot, il y a tout de suite un déclic qui se fait dans notre tête. Arc-en-ciel = Bonheur )
Qui est-ce ? Qui est cette femme, là, assise sur un rocher, qui semblait attendre quelqu'un. OH ! Était-ce vraiment celle qu'il pensait... était-ce ...

... la vieille femme qui vendait des trsgen dkjr llllikss (Note: vous m'excuserez, mais je ne sais pas comment s'écrivent ces mots. Je les ai écrits au son voyez-vous!) sur la place du marché de son village quand il était petit?

Ici, une petite précision s'impose. Commme vous le savez bien, notre charmant amis verdatre (plutot vert lime a vrai dire) ne fait pas partit de la race humaine, du moins pas plus que les navets (dites, les navets, c'est pas humains? parce que j'ai entendu des rumeurs au sujet de la pétition qui...heu, je m'égard la. revenons a ce qui nous interesse). Il est donc peu de dire que les villages, car il faut bien donner un nom a ces aglomération de demeures, si je peux me permettre de leur donner ce nom, sont on ne peut plus différents des notres. Plus meme que tout ce qu'on peut retrouver dans le regne animal... pas que je les compare à des animaux, c'est pas ce que je veux dire! Oubliez ca, vous voulez bien? donc... Premierement, ce sont des créatures qui ne font qu'un avec la nature, et leur "village" en est influencé. Ils habitent dans des....trucs verts...heu...suspendus aux arbres au moyen d'espece de lianes, mais en bois. Je sais pas si vous me suivez la...? Bref, ces affaires la sont rassemblées autour d'une plate-forme circulaire construite sur plusieurs étages. Et c'est sur ce...cette affaire que... et bien qu'ils... heu...Mais où ai-je la tete! pas devant les enfants! (ca me donne un prétexte pour remettre a plus tard cette description...Oufff!)

Où en étais-je? Ah oui, ca me revient...

Mr. Green contemplait donc cette vieille mégère à qui il avait toujours acheter ces délices suaves aux racines qui font la renommée du peuple de la foret. Il ne l'avait plus vue depuis ce fameux jour où elle avait fait ses adieux pour partir au Pays des Pays. C'est ainsi qu'on nomme le monde où les personnes fatiguées vont avant de mourir pour gouter un peu encore a la vie. Mais plus de précisions m'est interdit, ne me demandez rien de plus.

-Ghsojeddjc (c'était le surnom de Mr. Green lorsqu'il était pale, ou jeune si vous preferez), que fais-tu ici mon petit? l'interrogea la vieille. C'est interdit, tu le sais bien!

-J'ai des choses importantes à faire, se borna-t-il a lui répondre.

-Ne me cache rien, je suis tout de meme ta soeur (heu, ben oui! Est-ce que j'avais oublié de le préciser? C'est en fait sa demi-soeur, du premier mariage de sa mere... ouaip, imaginez un peu l'age de leur mere!!!), le tanca-t-elle.

-J'ai juré de garder le secret!

-Parle!

-Non!

-Si!

-J'ai dit non, alors c'est non!

-...

-Tu ne dis rien?

-...

-Mais tu es muette ou quoi? Parle, je n'en peux plus de ce silence!!!... S'il te plait!

-Un trsgen dkjr llllikss contre ton secret?

-Hum....d'accord, j'accepte ce marché.

N'en voulez pas trop à ce petit imbécile, il avait une faim de loup et il n'existe nulle part de met plus succulent que ces friandises. Et puis ce n'est pas comme si elle était une parfaite inconnue!

-Alors, tu me le dis, ce fameux secret?